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samedi 21 novembre 2015

EDITO - FFABRIICE 3.0 REBOOT









WELCOME BACK ! 

C'est la reprise du blog. Je ne perd pas de temps, on redémarre avec des photos vintage de la promo de STARWARS LE RETOUR DU JEDI avec la magnifique Carrie Fisher comme piqûre de rappel car si vous ne le saviez pas encore, le nouveau film évènement de JJ Abrams sort le 14 Décembre en Europe...

mercredi 12 décembre 2012

479 ◆ BEASTS OF THE SOUTHERN WILD (LES BÊTES DU SUD SAUVAGE) de Benh ZEITLIN ★★★★★



Résumé : Hushpuppy, 6 ans, vit dans le bayou avec son père. Brusquement, la nature s'emballe, la température monte, les glaciers fondent, libérant une armée d'aurochs. Avec la montée des eaux, l'irruption des aurochs et la santé de son père qui décline, Hushpuppy décide de partir à la recherche de sa mère disparue.





Mon Avis : Voici un film étonnant qui ne ressemble à rien de connu. A une époque où les cinéastes ont parfois du mal à créer des situations et surtout des atmosphères nouvelles, Benh Zeitlin, jeune cinéaste qui au moment du tournage n'avait pas encore trente ans, a réussi un pari impossible. Et pourtant nulle préméditation apparente, nul désir de donner dans le sensationnel : ce film est un morceau d'humanité et c'est déjà beaucoup. Certes l'évocation de la misère la plus profonde peut être sujette à caution : le réalisateur est-il sincère? Ne va-t-il pas forcer le trait en versant dans le misérabilisme avec violons à l'appui en guise de bande sonore? Eh bien non! Rien de tout cela. Ni misérabilisme, ni violons, ni appel à l'émotion facile. L'histoire de cette petite fille du bayou, Hushpuppy, élevée à la dure par un père qui est loin d'être un ange, nous conduit à partager le quotidien d'un groupe d'irréductibles vivant en marge de la société, sous la menace d'un ouragan dévastateur. Le réalisme est au menu, et l'image de ce renard éventré que découvre la petite fille en est comme un terrible symbole. Certes on pourra objecter que le réalisateur nous transforme en voyeurs, ce qui du reste n'est pas nouveau au cinéma. On pourra même éprouver un malaise face à cette misère sans fin, surtout si l'on appartient à la classe de ceux qui ont réveillonné sans scrupule. Mais il est bon aussi de rappeler que les Etats-Unis ne se réduisent pas à l'American Dream, à savoir des orgies de consommation pratiquées au nom de l'argent toujours roi. Ici la catastrophe qu'a vécue La Nouvelle-Orléans est plus suggérée que montrée. C'est que le film est un hymne à la Louisiane et à ses populations miséreuses. Benh Zeitlin est tombé amoureux du bayou et de son existence lacustre. En témoignent bien sûr les images, souvent véhiculées par une caméra mobile, mais aussi la musique où la country se dispute au jazzy. Et puis il y a une petite merveille en la personne de Quvenzhané Wallis qui, du haut de ses six ans, impose sa personnalité tout au long du film. Souhaitons-lui la carrière qu'elle mérite, à condition bien sûr qu'en grandissant elle demeure fidèle à elle-même et ne se laisse pas affadir par des producteurs peu scrupuleux.


478 ◆ THE HOBBIT - AN EXPECTED JOURNEY de Peter JACKSON ★★★★☆




Résumé : Bilbo Sacquet cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d'Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug. Alors qu'il croise par hasard la route du magicien Gandalf le Gris, Bilbon rejoint une bande de 13 nains dont le chef n'est autre que le légendaire guerrier Thorin Écu-de-Chêne. Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils devront affronter des Gobelins, des Orques, des Ouargues meurtriers, des Araignées géantes, des Métamorphes et des Sorciers.




Mon Avis : Le premier volet de 169 minutes de la préquelle du "Lord Of Rings" montre une fois de plus l'amour de Peter Jackson pour l'univers qu'il a crée basé sur l'oeuvre de Tolkien. Mais cette fois, il éxagère un peu. Il lui faut presque trois quarts d'heure pour faire quitter Bilbo de sa maison et encore une vingtaine de minutes de bavardage chez les Elfes de Rivendell. Ensuite seulement vient l'action. Mais celle-ci est très spectaculaire en revanche. Les batailles de rochers, les trolls mangeurs de nains et la fuite de la grotte des Orques au bord du précipice sont très impressionnantes. En même temps, tout fait un peu déjà vu. C'est peut-être dû aussi au fait que Jackson a non seulement repris la structure de "The Fellowship of The Ring", mais également des tas d'autres éléments de la trilogie "Lord Of Rings". Non pas que THE HOBBIT soit un fiasco. Loin de là, mais Jackson pense cette fois trop aux fans et trop peu à un récit bien ficelé d'où la longueur de la première partie, ce qui est bien dommage. En ce qui concerne la nouveauté des 48 images par seconde et bien j'ai quand même tenté le coup de le voir "sans la 3D", vu que tous nos cinéma sont dotés d'un écran HD et de profiter d'une très haute résolution numérique et d'une 3-D Relief. Résultat? Je ne me suis pas encombré des lunettes et se fut un réel plaisir de me replonger dans les nouvelles aventures de la Terre du Milieu de Tolkien, mis en image par Peter Jackson. Pour moi c'était sublime, on voit que les FX ont bien évolué et les paysages étaient magnifiques! Hâte de découvrir la suite en 2013. P.S : Un sans faute pour le choix de Martin Freeman dans le rôle de Bilbo et pis Thorin Ppffiou! J'adore!


mardi 11 décembre 2012

♢ EVENEMENT : LE "HIGH FRAME RATE" par Peter JACKSON




Jour J -1 est "THE HOBBIT - AN EXPECTED JOURNEY" sortira demain dans les salles. Le film sera projeté dans certains cinémas en 48 images par secondes (au lieu de 24) couplé à la 3D, un format que le réalisateur du "LORD OF RINGS" veut ériger en standard. Le High Rate Frame, révolution ou ratage ? Chacun d'entre nous pourra désormais se faire sa propre opinion.

L'AVENEMENT D'UN NOUVEAU STANDARD VISUEL 
Pour le premier volet de la trilogie "THE HOBBIT", Peter Jackson a utilisé des caméras numériques permettant de tourner en 48 images (48 i/s) par seconde, soit le double de la vitesse habituelle. Ce format innovant, le HRF (High Frame Rate), est censé donner une qualité 3D plus fluide et plus nette, et donc une expérience cinématographique beaucoup plus réaliste. Pour autant que le film soit projeté à la même vitesse bien sûr!
Mais il semblerait que ce nouveau format ait déjà ses détracteurs. "L'image est trop nette. Tout à l'air comme accéléré. Cela ressemble plus à un film tourné pour la télé, parfois trop réel, voir faux", rapportait le quotidien Los Angeles Times, après la vision d'un extrait de dix minutes du film. Certains professionnels ont carrément estimé que le film donnait la nausée et la migraine.
Peter Jackson admet qu'il faut un temps d'adaptation aux spectateurs, mais prétend que cela est assez rapide et que cette technique apporte "une clarté et une fluidité d'image grandement améliorée".

LE 24 I/S, UN FORMAT VIEUX DE 85 ANS
En Novembre, le réalisateur défendait déjà sa position sur Facebook: "Aujourd'hui, à l'heure du numérique, il n'y a aucune raison de rester au 24 images par seconde. (...) La science nous dit que l'oeil humain cesse de voir les images à partir de 55 images par seconde. Ainsi, filmer à 48 i/s donne beaucoup plus d'illusion que c'est la vraie vie. (...) Cà donne au film une magnifique qualité d'immersion."
Il est vrai que le format 24 i/s est agé. Il a été standardisé en 1927, avec l'apparition du cinéma parlant. Ce format permettait une bonne synchronisation avec la bande-son et permettait aussi d'économiser de la pellicule, qui coutait très cher. Désormais, ce standard n'a plus vraiment raison d'être. Le tournage en 48 i/s est par ailleurs intéressant pour les films qui se composent en majorité d'effet spéciaux, car il offre d'avantage d'images pour la post production.
Mais encore une fois, les critiques ressurgissent. Selon le magazine spécialisé Variety, "tout prend une qualité exagéré et artificielle dans laquelle la fausseté des décors et des costumes devient évidente".

LE HIGH FRAME RATE PAS DU NOUVEAU
Le superviseur des effets spéciaux de "2001 l'Odyssée de l'espace", Douglas Trumbull, avait déjà mis au point le procédé Showscan à la fin des années1970. A l'aide d'une pellicule 65 mm dont les images étaient projetées à la fréquence de 60 images par seconde, ce système de projection offrait une définition et une netteté jusqu'alors inédite. Mais le Showscan était en avance sur son temps et Trumbull s'est heurté aux limites techniques et financières de l'époque.
On retrouve également le High Frame Rate dans certains attraction de chez Disney comme le "Star Tour" de George Lucas et l'attraction 3D de "King Kong", toutes deux tournées en 60 images par secondes.

JAMES CAMERON, UN ALLIE DANS LA BATAILLE
Le réalisateur  James Cameron, l'un des pionniers de la 3D, est un allié de poids dans la bataille pour ériger le High Frame Rate en nouveau standard. Le réalisateur canadien a d'ailleurs affirmé qu'il filmerait son "Avatar 2" (sortie à Noël 2014) en 60 images par seconde. Ce procédé ne diffère pas grandement du tournage en 48 images par secondes, ne nécessite pas de nouveau matériel de projection et améliorerait davantage la stéréoscopie. Le réalisateur affirme qu'en augmentant la vitesse de projection, les spectateurs vivront mieux l'expérience 3D.

On se souvient des critiques envers le parlant dans les années 20 ou encore envers la 3D. Aujourd'hui, le High Frame Rate peut devenir un standard. Seul obstacle à cette révolution : la Télévision. Avec nos écrans ultraplats de dernière générations, les téléspectateurs bénéficient d'une qualité d'image exceptionnelle. Si cette évolution continue, les blockbusters fantastiques en 3D, très chers à réaliser, pourraient bientôt disparaître des grands écrans.

Le résultat çà sera pour demain...
Bonne soirée!

mercredi 28 novembre 2012

477 ◆ RISE OF THE GUARDIANS de Peter RAMSEY ★★★★☆




Résumé : L’aventure d’un groupe de héros, tous doués de pouvoirs extraordinaires. Emmenées par Jack Frost, un adolescent rebelle et ingénieux, ces cinq légendes vont devoir, pour la première fois, unir leurs forces pour protéger les espoirs, les rêves et l’imaginaire de tous les enfants.




Mon Avis : RISE OF THE GUARDIANS n'était pas à la base un Dreamworks que j'attendais des masses, et pour cause : réunir le Père Noël, le Lapin de Pâques, la Fée des Dents, le Marchand de Sable et Jack Frost pour combattre le Croquemitaine, était une entreprise ayant de grande chance de tomber dans le ridicule et le puéril. Puis je me suis rappelé qu'il y avait dedans les créateurs du cultissime pour moi HOW TO TRAIN YOUR DRAGON et Guillermo Del Toro en producteur exécutif! Et Oh purée quelle claque que c'était au final!!!!!!!! Tout commence de manière plus ou moins classique, avec le méchant qui fait un sale coup, et la réunion des Gardiens pour le contrer. Néanmoins, dès les premières secondes du film, on a le droit à la présentation du personnage Jack Frost (charismatique à souhait) de manière poétique et émouvante. Rapidement on comprend que Dreamworks a condensé tout son superbe savoir faire pour pondre quelque chose de puissant et d'épique. En effet, le film regorge de moments de bravoure plutôt impressionants, où les compétences des Gardiens sont à l'honneur.  L'animation est superbe : mention spéciale à la représentation des rêves et des cauchemars. Les décors sont grandioses également.  Le film marie à merveille scènes drôles (sans tomber dans le lourdingue) et émouvantes. Et à cela j'aimerai faire un grand bravo, car cela fait longtemps qu'on avait pas eu un personnage principal aussi intéressant que Jack Frost dans un film d'animation. La plupart des scènes concernant son passé, ainsi que la raison de sa présence sont touchantes à souhait, et les dialogues entre Frost et Pitch le croquemitaine sont écrits à la perfection.  Dreamworks a réussi, à l'instar de Pixar, à donner plusieurs niveaux de lecture à son film, ce qui fait que tout le monde y trouvera son compte. Sous ses airs de blockbuster pour enfants, on se retrouve avec un film merveilleux, impressionant, parfois émouvant, qui possède un sens de l'aventure que nous n'avions pas eu depuis très très longtemps dans un film d'animation. Et cela se ressent lorsque à la fin de la séance, tout le monde applaudit.  Pixar n'est plus (depuis Disney au manette) vive Dreamworks une vraie machine à rêve eux! Un de mes gros coups de coeur de l'année.


mercredi 21 novembre 2012

476 ◆ DREDD 3D de Pete TRAVIS ★★★★☆




Résumé : Dans un avenir proche, les Etats-Unis ne sont plus qu’un immense désert irradié. Mega City One est une métropole tentaculaire rangée par le vice. La seule forme d’autorité restante est représentée par les juges, une police urbaine qui cumule toutes les fonctions: flic, juge et bourreau. Une nouvelle drogue se propage, la Slo-Mo, qui permet de percevoir la réalité au ralenti. Sa distribution est contrôlée par Ma-Ma, ancienne prostituée, devenue baronne de la drogue. Dredd, le juge ultime, va se voir assigner une mission dans les environs de la tour de Ma-Ma et va devoir s’y confronter.




Mon Avis : Après une première adaptation de Judge Dredd plus en accord avec un cinéma divertissant issus des années 90, j'ai enfin eu droit au reboot que j'attendais, bien plus fidèle et qui colle mieux à l'univers post-apocalyptique de la Bande dessinée. Ici pas de contrat d'image comme en avait bénéficié Stallone à son époque (où il se baladait les 3/4 du film sans son casque), Karl Urban officie un DREDD recouvert d'un casque dont apparait à certain moment le célèbre rictus de dur à cuir propre au Judge Dredd d'origine. Malheureusement un problème financier divisera le budget de la production en deux, mais pourtant une idée judicieuse viendra mettre tout le monde d'accord bien aidé par un super scénario bien construit par Alex Garland (SUNSHINE, 28 WEEKS LATER, THE BEACH) ...tout de même! Les faibles  moyens financiers employés serviront à nous introduire, grâce à de magnifique effets spéciaux, l'immense ville au milieu du désert aride qu'est Méga-City One, agrémenté d'une narration de DREDD lui-même, pour nous expliquer le quotidien d'un Juge. Ensuite toute l'action se situera dans une des immenses tours surpeuplées de la ville en forme de huit-clos qui sert de base à un un quartel de la drogue avec à sa tête la cruelle MA-MA (une Lena Headey abonnée au rôle de bad girl ces dernier temps malgré sa beauté). Et  c'est peut être là qu'une infime comparaison sera faite avec le film philippin sortie cette année : THE RAID. A part ce détail là, Pete Travis me semble pas être une branquignole à la réal', c'est méticuleux (combat gore à 100%) et ultra léchée (les scènes de shoot au Slow-Mo magnifique!) avec une optimisation de chaque recoins de la tour afin de ne pas donner cette impression de déjà-vu. Car heureusement, les scènes d'action survitaminées sont là pour éviter de tomber dans l'ennui total, celles-ci sont bien maitrisés et certaines d'entre elles sont vraiment impressionnantes (les mitrailleuses lourdes qui détruisent littéralement l'étage opposé par exemple), le film est violent voire très violent dans les impacts de balles et c'est bien mieux comme ça avec des slowmotion bien employé, on en prend vraiment plein les yeux dans ces scènes-là. En plus Karl Urban y est pour beaucoup, même si à la base j'en doutais un tout petit peu. Surprenant en Judge Dredd d'un point de vue gestuelle et aussi par sa façon de s'exprimer, voir de se tenir de manière très mécanique, on dirait que le rôle était fait pour lui. Pour ce reboot on a droit à un DREDD en mode formateur-terrain (c'est cette idée que j'ai adoré du film en faite) accompagné d'une sublime nymphette (Ah! Cà, çà joue aussi) avec une Olivia Thirlby "télékinésiste" à tomber par terre. L'histoire reste assez basique en somme, avec une journée dans la vie du Judge Dredd. DREDD est un reboot réussi, c'est juste dommage qu'il n'y aie pas eu de distributeur pour une bonne projection sur grand écran, car finalement on loupe alors la 3D  pour les scènes d'action explosives. En attendant la suite vu l’échec au box office US malgré les très nombreuses critiques élogieuses qu'a reçu le film, l'idée de voir apparaitre une trilogie reste moins sûr, mais je croise les doigts car pour moi si il n'y a pas de changement au casting d'une éventuelle séquelle, ce DREDD 2012 a un sacré potentiel pour les fans du genre. DREDD, c'est une réussite!



REPLIQUES CULTES°

"De toutes les armes du vaste arsenal soviétique, la meilleure source de profit était sans conteste le célèbre fusil d’assaut automatique modèle 1947 plus connus sous le nom de AK-47 ou Kalachnikov. Le fusil d’assaut le plus célèbre du monde. Une arme appréciée par tout les combattants. Quatre kilos sept d’acier et de bois d’une élégante simplicité. Incassable il ne chauffe pas il ne s’enraye jamais. Couvert de boue ou plein de sable il continue de fonctionner. Il est d’un emploi si facile que même les enfants peuvent s’en servir... Et ils s’en servent. Les soviétiques l’avait fait figuré sur une pièce de monnaie, le Mozambique sur son drapeau. Depuis la fin de la guerre froide, la kalachnikov est devenue le premier produit d’exportation de la Russie, devant la vodka, le caviar et les écrivains suicidaire. En revanche personne n’a jamais fait la queue pour acheter leurs voitures." (LORD OF WAR de Andrew Niccols)

"Ça pose toujours un problème de soulever un corps en un seul morceau. Apparemment, la meilleure façon de procéder est de découper le corps en 6 morceaux et de les mettre en tas. Une fois que vous avez vos 6 morceaux il faut vous en défaire rapidement parce que votre maman ne serait peut-être pas contente de les trouver dans le congélateur. Il semble que la meilleure façon soit de nourrir les porcs avec. Il faut les mettre à la diète quelques jours. Pour un porc affamé des morceaux de cadavre c’est du coq au vin pour un poivrot. Vous devez raser la tête de vos victimes et leur arracher les dents. Ce sont les seules choses que les porcs ne digèrent pas. Vous pourriez les récupérer après bien sûr mais vous n’avez pas envi de fouiller dans la merde de cochon je suppose. Ils dévorent les os comme du beurre. Il vous faut au moins 16 porcs pour finir le travail en un seule fois. Aussi je vous conseille de vous méfier des types qui élèvent les porcs parce que ces bestiaux sont capables de venir à bout d’un cadavre de 100kg en moins de 8 minutes, ce qui veut dire qu’un porc peut engloutir, en moyenne, un kilo de viande toute les minutes. D’où l’expression se goinfrer comme un porc."
(SNATCH de Guy Richie)